Genese de MOïse Les champs d'actions, les termes fixes
1. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potentielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.
Dans et En Principe (se) créa Ælohîm (en tant que) ipséité des cieux et ipséité de la terre
Sepher, (Z) SPhR, le lien abstrait entre les choses, le mouvement. / Les graphimes anciens, peignent pour S l'état d'ouverture sous forme d'un arbre la ramure ouverte à droite et à gauche et de fermeture pour P sous forme d'une bouche les lèvres jointes. R peint une tête d'homme de profil et représente son mouvement déterminant, sa marche. R semble être l'emblème du "feu terrestre" bon ou mauvais qui l'habite. R seprésente l'idée d'un mouvement "bon ou "mauvais".
SPh, Toute idée de bout, de fin, de comble, de chose qui termine, qui consomme, qui achève. PHR, " le signe emphatique remplaçant le signe de l'actitivté intérieure , et réuni à celui du mouvement propre , constitue une racine qui développe toutes les idées de fructification, de production, de génération élémentaire". Le terme Sepher semble construit autour de la racine SR, modifée par la lettre P articulée Ph, se liant comme il été écrit plus haut au caractère .waw, .O (le son). SR, constitué du signe circonférentiel joint au mouvement propre, développe les idées de désordre, de force, de direction nouvelle, de retour. SR: tout ce qui est désordonné, rebelle, réfractaire; tout ce qui sort de sa sphère pour jeter le trouble, le désordre. Le voc. radical renvoie ici à la rac. S.OR, tout ce qui se retourne, se courbe, se pervertit, change de côté. 340, GM, toute idée de cumulation, d'agglomération, de complément.
En Principe, (D) BRAShITh, (DB) tout se qui se propage, se communique de proche en proche, un son un murmure / BTh, dans, d'une manière réciproque et sympathique. 913, ATG, un spn ou un mouvement silencieux, suivi d'une secousse violente; dans un sens restreint, une mitre, une couronne. Créa: (E) et (E) BRA final : (EE) l'espace / toute idée de fructification et de production, dont la rac. AB indique la soure:l e signe potentiel (A) réuni à celui de l'activité intérieure (B) produit une racine d'où découlent toutes les idées de cause productive, de volonté efficiente, de mouvement déterminant, de force générative. AB: Toutes les idées de paternité. Un désir d'avoir un père, un fruit. En réfléchissant sur ses significations, qui d'abord paraissent diverses, on sentira quelles découlent l'une de l'autre et se produisent mutuellement / la suite du terme créer indique: le rayon du cercle duquel naît la circonférence, une création potentielle (fruit, dont le germe contient en puissance, l'être même qui l'a porté). (3 fois) 1202 ACB: la tendance à fixer, à se fixer, un mouvement concentrique tendant à rapprocher, à compacter, centraliser / 203 CG: (dans) une sorte de mouvement sur soi-même en spirale, / 1405 AME: (ceci est) la faculté formatrice, la mesure, la matrice, la rêgle.
Ælohîm peut se traduire par Lui-les-Dieux, en effet la lettre Mem final , M final, exprime la pluralité. IM final développe toutes les idées d'amas. EI, analogue à la racine dite absolue EE, dont elle manifeste les propriétés. EI comme rac. onomatopée exprime toutes les affections pénibles et douloureuses. Dans la transcription Ælohîm, Æ recouvre l'idée de volition: la volonté en puissance, et considérée indépendante de tout objet.
646 ODO: (64/46= 1.39, le point de rupture dans le mouvement entre l'état d'ouverture et de fermeture) l'abondance par sympathie, affinité, influence, attraction-séparation de là un éloignement entre "le même et l'autre", (1-1 vers 1.666- 1.6) . 86 HO l'existence élémentaire, le chaos en arabe. 86/64= 1.34, la volition ou acte de volonté indépendante de tout objet. Ipséité: (E) ATh: toute existence évidente, démontrée / le symbole, la marque, le signe. 401, MA: "l'eau" des nombres: ce qui est plastique, passif, mobile et formateur, qui tend à l'augmenttion de son être. des-cieux: (A) et (H) EShMIM final: (AH) une excitation / la volition ou faculté de vouloir indépendante de tout objet / le chaos,l'existence élémentaire, ce qui l'annoce aux sens / un concours tumultueux de quelque chose que ce soit, l'étendue circondérentielle, la sphère entière d'un être quelconque, l'espace total qu'il occupe, l'amas de ce qui est éminement mobile, pasiif et propre à la fécondation. 955 TAA: ce qui cause de la réfractérité lumineuse, ce qui peut (la puissance) de nature double, 395 GTE: ce qui ( peut néanmoins) repousser un effort de pression, 1350 AGN: une ignition, une vive excitation, ce qui tend à s'augmenter, à s'étendre (comme un arbre), (et) former un circuit, une limite, qui couvre, environne une autre chose, une ombre, l'obcurité, un tombeau / ce qui sert à préparer une chose pour la rendre utile. des-cieux, EShMIM final _ OATh, et-l'ipséité: MO, l'eau. et-l'ipséité: (B) OATh: une action intérieure et acitve / un cri pour obtenie, un aboiement / provoque une lésion /(dans) ce signe, ce symbole. 407, MZ, (produit) un assèchement de-la-terre: (H) et (H) EARTz: (HH) ce qui force / le chaos, l'existence élémentaire, ce qui l'annonce au sens / une exclamation / Tout ce qui tient au principe élémentaire, tout ce qui est fort, vigoureux, producteur, la ligne droite / un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme , qui se propage en se divisant. 1106 AIO: le lieu d'un désir: un centre vers lequel tend la volonté, le lieu où elle se fixe / toute manifestation lumineuse; toute chose intelligible, un jour ( I°OM final, 1,66) 296 BTO: un éclat, une étincelle / une chose qui arrête, oppose de la résistance, 1402 DMB: l'action d'assimiler à soi / (par) une action de retour.
L'action de "sécher"
Le "renversement "cieux-terre"
2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et l’obscurité
de-la-terre, EARTz_ OERTZ, et-la-terre, TzO, suivant la direction donnée, ar.: par une sorte d'humectation naturelle.
et-la-terre, (E) et (E) OERTZ: (EE) l'espace en puissance d'être / ouvert - un abîme / ce qui est déchiré, lacéré / Tout ce qui tient au principe élémentaire, tout ce qui est fort, vigoureux, producteur, la ligne droite, un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme , qui se propage en se divisant. 1112, AAAB: une triple action vers un but désiré, 302 LB: par une force appétante,désireuse, générative, ADAD: entre deux unités (1.407 et 1.420). (H) EARTz: le chaos, l'existence élémentaire, ce qui l'annonce au sens / une exclamation / Tout ce qui tient au principe élémentaire, tout ce qui est fort, vigoureux, producteur, la ligne droite / un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme , qui se propage en se divisant. existait, (O) EIThE: ce qui est déchiré, lacéré / EE, l'existence absolue, non réductible, ITh, l'essence et la nature objective des choses, AT, un son ou un mouvement lent et silencieux. 420, DC, la nécessité, ar; frapper, casser, meurtrir.
tohu, (O) ThE.O, Le déterminatif, ici le conjonctif Waw, W , O, V, W lié à la première lettre du mot Taw, Th, forme la rac. OTh : peignant la difficulté de se mouvoir, et le gémissement qui suit cette difficulté / la rac. suivante ThE, caractérise la raison influente et sympathique des choses, ce qui ( , le son) limite, détermine, définit, circonscrit / l'être. 411, DAA: la divisibilté élémentaire / de la puissance absolue "vers" la puissance relative (1 - 1). existait, (O) EIThE: ce qui est déchiré, lacéré / EE, l'existence absolue, non réductible, bohu( A) OBE.O. (Aleph, A) le déterminant du terme , joint à O forme la racine AO ou la puissance liée à l'idée de conjonction ou de séparation entre ce qui est n'est pas (en potentialité d'être) , forme l'idée du désir. La rac. trilitère AOB peint l'idée d'un désir intérieur,(voir lettre Bet ou B) , celui de volonté efficiente mais aussi de cause productive, de mouvement déterminant, de force générative / par le son, limitant etc.... / Il s'agit là d'une mouvement spontané. La lecture inverse du mot indique en chaldaïque et en arabe un état violent de l'âme; Serait-ce là, à travers le caractère Waw, O, une interjection , °O entre .O, et , O ?. Concernant les racines débutant par Waw, Fabre-d'Olivet écrit:: " je rapporterai brièvement les racines les plus importantes qui commencent ce caractère, dans les dialectes qui les possèdent, et qui sont presque toutes onomatopées et idiomatiques". / La racine BE.O, quant à elle peint l'idée d'une chose dont on ne peut sonder la profondeur, un abîme. renvoyant à la rac. E.OE, peignant la même idée, dans le cadre de la vie universelle et absolue EE. lire aussi / La racine O.O encadrant dans (B) l'abîme souligne l'idée de conjonction-séparation d'où émane un son (Waw, .O, .W) est écrit ici dans son acception verbale aérienne, le son). lire aussi: ici , ici et ici Le terme bohu est bâti sur la racine onomatopée BE, "peignant le bruit que fait une chose en s'ouvrant, et qui, la représentant béante, offre à l'imagination l'idée d'un gouffre, d'un abîme. La suite du terme, "BE.O décrit un abîme, une chose dont on ne peut sonder la profondeur". L'abîme serait l'état où l'existence en ce qu'elle a de plus absolu, de non réductble, présenterait une rupture de continuité. 19. AT un mouvement lent et silencieux.
bohu, OBE.O._ OHShC f., et-l'obscurité, .OO, toute conjonction, toute conversion, un clou.
Th.... B (tohu bohu) souligne l'idée d'un "renversement" du Principe, B ..... Th (BRAShITh), du moins d'ordre de ses mouvements,l'un rectiligne, l'autre relatif
et-l'obscurité, (A) D)OHShC f.,,un objet distinct, seul, extrait de la multiplicité, tout ce qui émane d'une chose, la puissance de la division, l'unité relative / ce qui est en déséquilibre. OH, uune émission subite de lumière .", "l'obscurité..... Ce mot est composé de deux racines contractées, Il est remarquable dans son sens figuré et hiéroglyphique. Dais sonsens liguré, c’est un mouvement comprimant et durcissant; dans son sens hiéroglyphique, c’est un combat, une opposition violente entre les principes contraires du chaud et du froid. La racineexprime un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre. La racinepeint, au contraire, un sentiment de contraction et de resserrement qui tend à se centaliser. Dans la composition du mot, c’est la force comprimante qui l’emporte, et qui enchaîne l'ardeur interne forcée de se dévorer et même. " Fabre-d'Olivet. 314, GAD: par une irruption, dans une icision, , 814, HAD: la violence d'un coup porté: réduit l'existence à son niveau le plus élémentaire, le chaos, 1148, AADH, extrayant deux unités / par contraction. sur, (A) WhL: Le centre déployant se circonférence, dans un sens plus restreint c'est le feu considéré dans l'abscence de toute lumière / WhL, la matière première, sa force extensive, sa végétation, son développement dans l'espace, , sa puissance aggrégative, un entassement, 100, Q, la force agglomérante ou réprimante _la face , (A) PNI: tout ce qui conduit à un but, la cause finale, une roue, un tourbillon, la face extérieure, un tour / NI, ce qui est jeune, nouveau. 140, AM, la faculté formatrice, l'origine. sur , WhL_ PNI, la face , toute idée de réaction, de retour sur soi-même, de réfraction, l'action d'envelopper. m f. l'abîme, (A) (G) ThE°OM final, une ignition/ le moi, l'objet / tout ce qui exerce extensive et réciproquement croissante, une vis, un pressoir / THM f., ce qui perfectionne, achève, E°O, la vie potentielle, 451, DEA, ce qui est fécond, suffisant, un mouvement démonstratif, 1011, IAA: (le lieu) de manifestation / d'une double unité, 1462, ADOB, tout objet distinct, seul, extrait de la multitude, tout ce qui émane d'une chose, la puissance de la division, l'unité relative, par contagion..
l'abîme, ThE°OM final - OR.OH:et-le-souffle, l'eau. et-le-souffle, (D) ce qui circule sans contrainte - une fluxion, une liquéfaction abondante- ordonne une chose, la dispose suivant un certain ordre- existe selon un mouvement et un ordre réglé / affaisse, aplatit, coule, tombe en masse (l'eau), transporte, meut , anime. Ælohîm, 646 ODO: 64/46= 1.39. L'abondance par sympathie, affinité, influence, attraction-séparation, de là un éloignement entre "le même et l'autre", (1-1 vers 1.666- 1.6) . 86 HO l'existence élémentaire, le chaos en arabe. 86/64= 1.34, la volition ou acte de volonté indépendante de tout objet. générativement mouvant, (H) MREPTh: l'enveloppement général et la chaleur qui en résulte, considérée comme un effet du mouvement contractile (H)M / régénère la vie / entraîne, enveloppe dans une sorte de tourbillon- dans un mouvement de rotation / (dans) l'espace - éparpille, répand ça et là. sur, (A) WhL: une réjection / (lors d') relachement physique _la face , PNI: (à travers) une ouverture. des-eaux, 655, OEE: ce qui est déchiré, lacéré / l'existence absolue, sans borne, 95: TE: (est) disposée et préparée de manière à être utile, 750, ZN: classée, livrée à elle-même.
3. Et-il-dit ( déclarant sa volonté) , Lui-l’Ètre-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière (élémentisation intelligible). Et-il-dit, (E) IAMR: la manifestation / (sur) la mesure / par outrepassement.
sera faite, (Z) IEI: ce qui brille, réfléchit et réfléchit comme la lumière / la vie absolue manifestée, l'éternité, qui apprête, arrange les choses et leur donne une forme agréable, _lumière, (T) A°OR: ce qui cause de la réfractérité lumineuse / le nombre livré à son désir de mouvement. et-sera (fut) faite, (G) IEI: ce qui organise / ce qui brille, réfléchit et réfléchit comme la lumière / la vie absolue manifestée, l'éternité, qui apprête, arrange les choses et leur donne une forme agréable,
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