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Racines hébraïques, Lettre Bet ou B
cosmogonie de Moïse
   

 

 

Fabre d'Olivet, vocabulaire radical hébraïque
Fabre- d'Olivet
auteur du

VOCABULAIRE RADICAL

Bet ou B

Bet, B

 

Le caractère Bet ou B appartient, en qualité de consonne, à la touche labiale. Comme image symbolique, il représente la bouche de l'homme, son habitation, son intérieur. Employé comme signe grammatical, il est le signe paternel et viril, celui de l’action intérieure et active. C’est, en hébreu, l’article intégral et indicatif, exprimant, ainsi que je l’ai expliqué dans ma grammaire, entre les noms ou les actions à peu près le même mouvement que l’article extractif Mem ou M mais avec plus de force, et sans aucune extraction, ni division des parties. Bet, B, Bh  


Le caractère Bet Bet ou B appartient, en qualité de consonne, à la touche labiale. Comme image symbolique, il représente la bouche de l'homme, son habitation, son intérieur. Employé comme signe grammatical, il est le signe paternel et viril, celui de l’action intérieure et active. C’est, en hébreu, l’article intégral et indicatif, exprimant, ainsi que je l’ai expliqué dans ma grammaire, entre les noms ou les actions à peu près le même mouvement que l’article extractif Mem Mem ou M mais avec plus de force, et sans aucune extraction, ni division des parties.


Valeur numérique: 2.


racine BA: Du signe de l’action intérieure réuni à celui de la puissance, image de la continuité, se forme une racine, d’où se tirent toutes les idées de progression, de marche graduée t de venue, de passage d’un lieu à un autre, de locomotion.BA  



BA.Du signe de l’action intérieure réuni à celui de la puissance, image de la continuité, se forme une racine, d’où se  tirent toutes les idées de progression, de marche graduée, de venue, de passage d’un lieu à un autre, de locomotion.

L’ar.un mouvement de retour. indique, dans l’idiome antique, un mouvement de retour.


racine hébraïque B.OA. L’action de venir, de provenir, d'advenir, de parvenir, de naître ; l'action de procéder, d'aller en avant, d’entrer, etc. B.OA. L’action de venir, de provenir, d'advenir, de parvenir, de naître ; l'action de procéder, d'aller en avant, d’entrer, etc.

racine hébraïque BAR: BAR. (R. comp.) tout ce qui se met en évidence, se manifeste, etc., dans un sens propre une fontaine BAR. (R. comp.) tout ce qui se met en évidence, se manifeste, etc., dans un sens propre une fontaine. V. la R.Bet-Res BR.

racine hébraiïque BASh. (R. comp.) tout ce qui devient stagnant, et qui se corrompt. BASh. (R. comp.) tout ce qui  devient  stagnant, et qui se corrompt. V. la Rac. Bet-Sin BSh.


racine Bet-Bet ou BB: Toute idée de vide intérieur, et de boursouflure extérieure. BB  



BB
. Toute idée de vide intérieur, et de boursouflure extérieure.

BG BB. La prunelle de l'œil. En chaldaïque, une ouverture, une porte. L’ar.une ouverture, une portea le même sens.

B.OB B.OB. L’action d’être intérieurement vide, cave, toute image d inanité, de vacuité.

 

racine Bet-Bet ou BB: Toute idée de vide intérieur, et de boursouflure extérieure. BG  


BG: Tout ce qui nourrit ; c’est- à-dire, tout ce qui agit à l’intérieur; car c’est  ici une racine composée de la B.AG,  réunie au S.B
.L’ar. une extension, une évacuationexprime en général une d’extension, une évacuation ; c’est dans un sens restreint, dans laisser fairel’action de permettre, de laisser faire. Comme racine onomatopée caractérise le cri sourd d’une voixcri sourd d'une voix rauqyerauque.

 

 

BS BD  

 

BD: La racine!BD, AD, qui caractérise tout objet distinct et seul, s’étant contractée avec le S. de l’activité intérieure (B), compose cette R. d’où découlent les idées de séparation, d’isolement, de solitude, d’individualité, d’existence particulière.

De l’idée de séparation, nait celle d'ouverture; delà le sens d'ouvrir la bouche qui s’attache à cette R. dans plusieurs idiomes, et par suite celui de babiller, de bavarder, de badiner en paroles, de habler, de mentir, etc.


L’ar.le milieusignifie proprement le milieu , i'entre deux. Comme verbe, cette racine caractérise l’action de disperser.

 

 

BE. BE  


BE. Racine onomatopée, qui peint le bruit que fait une chose en s’ouvrant, et qui, la représentant béante, offre à l’imagination l’idée d'un gouffre, d'un abîme, etc

BE.O BE.O. Un abîme, une chose dont on  ne peut sonder la profondeur, tant physique qu’au, moral. V la R.EE EE.

L'ar. , comne racine onomatopée, caractérise l’étonnement et la surprise. Le mot arabesurprenant, qui s’en forme, désigne tout ce qui est étonnant, surprenant, tout ce qui cause l'admiration.resplandir, signifie resplandir, et resplandissant, resplandissant.

le marbre BET(R. comp.) Le marbre ; à cause de sa pesanteur.V. la R. .ET ET.

un mouvement rapide BEL (R. comp.). Un mouvement rapide qui exalte, qui transporte, qui met hors de soi : une teneur panique. V. la R.EL EL.

un bruit BEM (R. comp.). Toute chose qui s'élève et détend dans tous les sens; comme un bruit, un tumulte, et aussi un corps, une troupe : c’est au propre un animal quadrupède. V. la R. EM.

le doigtd BEN final (R. comp.) Tout objet indicateur ; proprement le doigt.

 

BZ. BZ  



BZ. La racinetout ce qui s'élève AZ, qui peint le mouvement de tout ce qui s’élève pour chercher son point d’équilibre, s’étant contractée avec le S. de l’activité intérieure B, fournit toutes les idées qui découlent de la prééminence que l’on, s’arroge sur les autres, de l’orgueil, de la présomption, etc.
L’ar. croître, germer signifie proprement l’action de croître, de germer, de pousser des rejetions.

mépriser B.OZ. L'action de s' élever audessus des autres, de les mépriser, de les humilier : toute idée de dédain, tout objet de mépris.

dépouiller BZZ (R. intens.). Dans sa plus grande intensité, cette R. signifie dépouiller les autres de leurs droits et de leurs biens pour se les approprier : de là toute idée de butin.

L’ar.dépouillier, butin a le même sens. Le mo t un vautoursignifie un oiseau de proie, un vautour.

 

BH BH  



BH. Cette racine n’est usitée en hébreu qu’en composition. L' ethiopique un acide, un ferment (baha) signifie toute espèce d’acide et de ferment. ,
L’ar.souffler l'eau entre les lèvressignifie, dans l’idiome moderne, souffler de l'eau entre les lèvres.

un fruit encore acerbe BHL (R comp.). un fruit qui commence à mûrir, qui est encore acerbe ; un fruit précoce; par métaphore, une chose qui agace, qui fatigue.

une expérience BHN final (R. comp.). L'essai d’un fruit pour juger s’il est mûr; et par métaphore, toute sorte d' expérience.

une épreuve BHR (R. comp.). Un examen, une épreuve; et par suite, tout ce qui est examiné, éprouvé, élu.

 

BH. BT  



BT. La racine un murmure AT, qui peint une sorte de bruit sourd et de murmure, s’étant contractée avec le S. de l’activité intérieure B, caractérise tout ce qui pétille, tout ce qui étincelle ; c’est une élocution vive et inconsidérée, un discours futile.

L’ar. tout ce qui tranche indique tout ce qui tranche, tant au physique qu’au moral. L’onomatopéece qui tmobe et s'épatecaractérise tout ce qui tombe et s’épate,

uune saillie, une éticelle BTT (R. intens.). Une saillie, une étincelle,

uné émeraude BET (R. comp.). Du crystal. Tout ce qui jette des éclats, des étincelles. Une émraude, du marbre, etc.

 

 

Bet, Yod BI  

BI. Racine. analogue aux RR.une chose qui avance, vient, s'ouvre BE, BA, qui caractérisent le mouvement d’une chose qui s’avance, paraît au dehors, vient, s’ouvre, etc. Celle-ci s’applique principalement au désir qu’on a de voir paraître une chose, arriver un événement, et qu’on exprime par plût-à-Dieu !

BIN f. BIN final(R. comp.). V. la R .IN f. IN final.


BIR BIR (R. comp.) V. la R .BR BR.


BITH BITh (R. comp.). V. la R .BTh BTh.


BC f.. BCH  


BCh final. La racinetoute idée de compression AC final qui développe toutes les idées de compression, s’étant réune au S. d'activitë intérieure B, forme la R.une fluxion BCh final dont le sens propie est une liquéfaction, une fluxion, résultante d'une étreinte plus ou moins forte, ainsi que l’exprime l’arabeune fluxion plus ou moins forte.

De làcouler, fondre en eau, un torrentBCh final l’action de couler de se fondre en eau, de pleurer ; Tout fluide provenant d'une contraction, d'une contrition : un débordement, un torrent, les pleurs, etc.

L’ar. une contrition a exactement lememe sens.


être resséré B.OCh final. L’état d’être resserré par la douleur, contristé jusqu’aux larmes.

 

Bl. BL  



BL.Cette racine doit être conçué selon deux manières de se composer : par la première, la R.une élévation AL, qui peint l’élévation, la puissance, etc. s’y trouve réunie au signe de l’activité intérieure : par la seconde, c’est le S. du mouvement extensif L, qui se contracte avec la R. une progreesion BA dont l’emploi est, comme nous l’avons vu, de développer toutes les idées de progression, de marche graduée, etc : En sorte que c’est dans le premier cas, une force dilatante, qui, agissant du centre à la circonférence, augmente le volume des choses, en y causant une espèce de bouillonnement, de boursouflure; tandis que dans le second, c’est la chose même qui se transporte ou qui se bouleverse, sans augmenter de volume.


l'abondance BL. Toute idée de distension, de profusion, d'abondance; toute idée d'expansion, d’extension, de ténuité, de douceur. Dans un sens figuré, la spiritualité, l'âme humaine, l'âme universelle, le Tout, Dieu.
L’arabe ce qui ramollit caractérise, dans un sens restreint, tout ce qui humecte, mouille, lénifie, ramollit, rend fertile la terre, etc.


ce qui est vain, illusoire BLL (R intens.). De l’excès de l’extension, naît l’idée du manque, du défaut, de l'abandon, de la faiblesse, du néant : c’est tout ce qui est nul, vain, illusoire : Rien.

L’ar.rien, sans se renferme dans le même sens que l'hébreu, et se représente par la relation adverbiale sans.


Une émotion intérieure, un trouble, une confusion, une perturbation extraordinaire BEL (R. comp.). Une émotion intérieure, un trouble, une confusion, une perturbation extraordinaire. V. la R.BE BE.


se dilater. L’action de se dilater, de se gonfler, de bouillir, de se répandre de toutes parts : un flux, une intumescence, une diffusion, une inondation, une enflure générale.

BM final.. BM final  

 


BM final. La réunion des signes de l’activité intérieure et extérieure, des principes actifs et passifs, constitue une racine peu usitée et très difficile à concevoir. Dans le style hiéroglyphique, c’est l’universalité des choses : dans le style figuré ou propre, c’est tout lieu élevé, toute chose sublime, sacrée, révérée, un temple, un autel, etc.

L’ar. signifie, dans un sens restreint, le le son fondamental du système musical son fondamental du système musical, appelé en grecle son fondamental. V . la R .QB QB.

 

BN f.. BN  



BN final. Si l’on conçoit la R.idée de naissance, de profression BA, qui renferme toutes les idées de progression, de venue, de naissance, revêtue du S. extensif N final N final pour former la R. Bn f. BN final, cette racine développera l’idée d’une extension génératrice, dune production analogue à l’être produisant, dune émanation ; si l’on considère cette même R.BN f. BN final, comme le résultat de la contraction du S. de l’activité intérieureB B , avec la R.AN  final AN final, qui caractérise l’étendue circonscriptive de l’être, alors elle sera le symbole de toute production active, allant de puissance en acte, de toute manifestation de l’acte générateur, du moi.


un fils BN final. Dans ün sens figuré, c’est une émanation intelligible, ou sensible; dans un sens propre, c’est un fils, une formation, une corporisation, une construction.
L’ar.un filsa exactement les mêmes acceptions que l’hébreu.


penser B.ON. L’action de concevoir, d'exercer ses facultés conceplives, intellectuelles; l’action de penser, d'avoir des idées, de former un plan, de méditer; etc,

concevoir BIN. L'intelligence ; ce qui élit intérieurement et dispose les élémens pour l'édification de l'âme. Tout ce qui est intérieur. Voyez la R.IN final IN.

 

 

BS.BS  

 


BS. Tout ce qui tient à la terre, exprimée par la racinetout ce qui sert de base AS; tout ce qui est à la base.

L’ar. tout ce qui suffit indique tout ce qui suffit ; et se représente par la relation ad verbiale assez.

terrassr, fouler B.OS. L’action de terrasser, d'écraser, de fouler, de presser contre terre.

L’ar. concasser signifie l’action de concassser, et de mêler; ettoute idée de violence, de contrainte renferme toute idée de force, de violence et de contrainte.




Bet Ayin. BWh  


BWh. Toute idée de mouvement précipité, rude, désordonné! C’est la R. BA BA, dont la voyelle-mère a dégénéré vers le sens matériel.
L’ar.le beuglement des animaux est une racine onomatopée qui exprime le bêlement, et le beuglement des animaux.


une recherche inquiète BWh. Une recherche inquiète, une perquisition; une boursouflure, un bouillonnement ; l’action de bouillir, etc.
L’ar. faire le négoce signifie dans un sens restreint, vendre et acheter, faire le négoce; ets'entremettre s’entremettre pour un autre, et lui souffler ce qu’il doit dire. Le mottoute idée d'inquité et d'injusticequi découle de la racine primitive BAyin renferme toutes les idées d’iniquité et d’injustice,


rejimber BWhT (R. comp.). L’action de regimber.

domination BWhL (R. comp.). Toute idée de domination, de puissance, de hauteur : un seigneur, un maître, un supérieur absolu ; L'Être-Suprême.

dévastation BWhR (R. comp.). Tout idée de dévastation par le feu, de dévoration , de conflagration, de combustion; d'ardeur consonmante : tout ce qui détruit, ravage; tout ce qui rend désert, aride, en parlant de la terre; brute, stupide, en parlant des hommes. C’est la R, Ayin, Res WhR régie par le signe de l’activité intérieure Bet B. .

frapper de terreur BWhTh. (R. comp.) L’action d'épouvanter, de frapper de terreur, par des mouvemens formidables.

 

un bourber. BTz  

 

BTz.. Racine onomatopée et idiomatique, qui se forme du bruit que l'on fait en marchant dans la boue : c’est au propre un lieu fangeux, un bourbier.
L’ar. tout espèce de rayon lumineux se portant du centre à la cironférance ne tient point à la racine onomatopée B Tzadé final BTz final; c’est une racine primitive qui possède toute la force des signes dont elle est composée. Dans un sens général, elle caractérise toute espèce de rayon lumineux se portant du centre à la circonférence. Dans un sens restreint, elle exprime l'action de lancer des regards, de resplendir, de regarder. Comme nom, c’est la braise. Le ch.scruter BWhTz qui tient aux.mêmes éléments, signifie examiner, scruter, faire une perquisition.


patrouiller dans la boue BWhTz. L’action de patrouiller dans la boue. C’est le nom qu’on donne au lin ,à cause de l’apprêt qu’on lui fait subir dans l’eau.

 

 

 

toute idée d'évacuation. BCQ  


BCQ. Toute idée d’évacuation, d’épuisement. C’est la racine AQ AQ réunie au signe de l'action intérieure B.OQ L’action d'évacuer, de dissiper, de rendre rare.
L’ar.éternel signifie étemel; et éterniser .éterniser.

 

 

une conception. BR  



BR. Cette Racine se compose, ou de la R. élémentaireAR AR, réunie au signe de l’activité intérieureBet, B B; ou bien, du signe du mouvement propre Res, R R, contracté avec la R. BA BA; de là, premièrement, toute production active, en puissance, toute conception, toute émanation potentielle ; secondement, tout mouvement inné, tendant à manifester au dehors la force créatrice de l’être.


une création potentielle BR. En style hiéroglyphique, c’est le rayon du cercle duquel naît la circonférence, dont il est la mesure c’est en style figuré, une création potentielle; c’est-à-dire un fruit quelconque , dont le germe contient en puissance, l’être même qui l’a porté : c’est au sens propre, un fils.
L’ar. ce qui est intégre signifie dans un sens restreint, un continent; et dans un sens plus étendu, tout ce qui est intègre.

tout mouvement extracteur, sépérateur BRR (R. intens.). Tout mouvement extracteur, séparateur, ellaborateur, purificateur : tout ce qui préparé où est préparé, tout ce qui purgé, purifie, ou qui est lui-même purgé, purifié. Toute espèce de métal.
L’ar .justijer, purifier élevé à la puissance de verbe, développe l’action de justifier et de purifier.


une manifestation BAR (R. comp.). Toute idée de manifestation, d'explication : ce qui met au jour, ce qui explore, ce qui produit au dehors. Dans un sens très restreint, une fontaine, un puils.

ce qui est resplandissant BER (R. comp.). Toute idée de lucidité, de clarté. Tout ce qui est candide, resplandissant.  

le pureté B°OR (R. comp.). Toute idée de distinction, d'éclat, de pureté. Dans un sens restreint, le froment.

une excavation B°OR ou BIR (R. comp.). Dans un sens étendu, une excavation ; dans un sens restreint, un puits; dans un sens figuré, un édifice, une citadelle, un palais.

 

 

une progreesionBSH  

 

BSh. Cette racine, considérée comme dérivant du S. de l’activité intérieure Bet B, réuni à la R .le feu ASh qui caractérise le feu, exprime toute idée de chaleur et d’éclat : mais si on l' a considère comme formée de la R. une progression BA qui dénote toute, progression, et du signe du mouvement relatif , alors elle indiqué sorfe de retard dans la marche.

L’ar. ou participe à ces deux acceptions. Le mot une voilence, qui tient à la première, signifie une violence ;et un vide, qui tient à la seconde, signifie un vide.


tarder, tourner au lieu d'avancer B.OSh. L’action de rougir, d’éprouver un sentiment intérieur de pudeur ou de honte : l’action de tarder, de s'amuser, de tourner au lieu de s’avancer.

ce qui est corrompu BASh (R. comp.). Tout ce qui est corrompu et stupéfait. De là le chaldaïque tout ce qui est mauvais BIShA ou B.OSh, BASh, tout ce qui est mauvais.

 



racine BTh, Toute idée d’espace intérieur, de lieu, d’objet contenant, de demeure propre, de réceptacle, de logis, d’habitation, etc.. BTH  

 


BTh.Toute idée d’espace intérieur, de lieu, d’objet contenant, de demeure propre, de réceptacle, de logis, d’habitation, etc.
L’ar .une chose dé­tachée, coupée, taillée, distribuée en parties caractérise une chose détachée, coupée, taillée, distribuée en parties. On entend par une sorte de rejaillissement une sorte de rejaillissement; et par une sortie brusque, un froissement une sortie brusque, un froissement.


racine B.OTH, B.OTh. L’action de demeurer, d’habiter, de passer la nuit, de se loger, d'être retiré chez soi; etc. B.OTh. L’action de demeurer, d’habiter, de passer la nuit, de se loger, d'être retiré chez soi; etc.


racine hébraïque BITh. Lieu séparé et particulier; un logis, une habitation : ce qui compose l'intérieur, la famille : ce qui est interne, intrinsèque, propre, local; etc. BITh. Lieu séparé et particulier; un logis, une habitation : ce qui compose l'intérieur, la famille : ce qui est interne, intrinsèque, propre, local; etc.

 

Commentaires, renvois
et illustrations

 

 

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