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le tohu bohu, l'abîme, le souffle et les eaux
cosmogonie de Moïse
 
   

 

 

 

Cosmogonie de MOïse

 

le tohu bohu,

l'obscurite, l'abîme,
le souffle, les eaux

 

 


 

En évoquant l'existence de la terre, cela dans la Genèse hébraïque, Fabre-d'Olivet traduit tohu bohu, par: "puissance contingente d'être dans une puissance d'être"

"Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et l’obscurité
(force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être );
et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle)"

Chap.1,v.2

Il convient de comprendre tout d'abord qu'il s'agit d'un principe, Le Principe, celui de la Vulgate ("In principio creavit")

Tohu et-bohu s'écrit:
ThE°O - OBE.O

Dans ses notes, il ajoute:

"ne veut pas dire seulement dans le principe," In principio », mais bien En principe; c’est-à-dire, non encore en acte, mais en puissance...

En traduisant non pas "Dieu créa, les cieux et la terre" mais "l'ipséité*-des-cieux et-de-la-terre", la création débute non pas en acte, mais en puissance d'être.
* Ce qui la distingue, sa marque, son signe, ici son nombre.

Chapitre Un:
(En et dans) le Principe /Ælohîm/ (se) crea / (en tant que) ipséité_des-cieux et-ipséité_de-la-terre.
Les-cieux: 1350, Ælohîm: 732
1350 - 732 = 618
Or, Ælohîm est l'unité, d'un amassement (IM)
ipséité_des-cieux = 0.618
et-ipséité_de-la-terre = 0.382
Les nombres représentent ce qui est en puissance d'être

quand Aelohîm, dieu se créa en tant que mouvement


Le mouvement de création de Ælohîm, dieu sur lui-même, cela en tant que "cieux et terre".

"les eaux" et "la terre"

Ælohîm, Lui-les-Dieux, Dieu, dit et fait

Dire quand on est seul, c'est se projeter dans une sorte d'inversion: "je me dit", je je me suis dit, je me serai dit est une forme de retour sur soi, une rotation du postérieur vers l'antérieur dans le temps.

6. Et-il-dit, Lui-les-Dieux, il sera fait une-raréfaction (un desserrement, une force raréfiante) au-centre des-eaux : et-il-sera-fait un-faisant-séparer (un mouvement de séparation) entre-les-eaux envers-les-eaux.

7. Et-il-fit, Lui-les-Dieux, cette- ipséité-de-la-raréfaction (cette force raréfiante; l’espace éthéré); et-il-fit-exister-une-séparation entre les-eaux qui-étaient par-en-bas (affaissées) de-l' espace-élhéré et-entre les-eaux qui-étaient par-en-haut (exaltées) de-l’espace-éthéré : et-ce- fut ainsi.

les eaux de la Genèse

les eaux

Les eaux primordiales et le son

La création  sonore d'après la Genèse

L'action de "sécher l'eau" pour former un corps potentiel, en l'occurence le seconde" terre", puissance contingente d'être dans une puissance d'être (la première" terre", au v.1)

Il s'agit là de: "et-la-terre" (v.2) puissance contingente d'être dans "et-l'ipséité_de-la-terre" (v1) reliées par la conjonction de coordination

 

 

"ipséité_ de-la-terre / et-la-terre"
OTz f. une résistance
OE, vaincue, mise en déroute, lacérée.
Le tandem formé par" l'ipséité_des-cieux et -l'ipséité_de-terre" est rompu pour faire place à un nouveau tandem plus stable.


les champs carrés où vont se dérouler une action génésiaque

Le concept de Tohu bohu, puissance contingente d'être dans une une puissance d'être, cela en évoquant la terre ("Et la terre existait tohu bohu") résulte d'un renversement du terme Principe sur lui-même B.... Th par Th..... B, tohu bohu. Le son ("et le souffle de Ælohîm") à travers la variation entre E et O semble être l'agent de ce renversement.

 

la tonique du mode musical  dans la Genèse-Bible

2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et l’obscurité
(force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être );
et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle

 

Tohu, par l'emploi des signes Taw ou Th, recouvrant l'idée de réciprocité et Waw ou O dans l'acception verbale sonore, est traduit par puissance d'être. Celle-ci est contigue d'une autre puissance d'être le bohu. Fabre-d'Olivet, S'agissant ici des modalités d'existence de la "terre", Fabre-d'Olivet traduit le verset 2: "Et-la-terre existait puissance contigente d'être dans une puissance d'être..."

Tohu et Bohu appartiennent à l'espace sonore. Un son en arrière-fond émane d'un état d'équilibre et de déséquilibre, figuré par les nombres

le demi-ton musical d'après les nombres

20/19 =1.052, valeur approximative du demi- ton.

Les couples:

- l'obscurité / l'abîme.
- Le souffle (de L.l.Dieux) / les eaux.

l'obscurité-la force comprimante / l'abîme-effondrement
-la souffle expansif -son / les eaux-amassement- sur elles mêmes

Les positionnements:

-sur
- la face

 


l'obscurité, l'abîme et le souffle dans la Genèse

Le tohu et l'abîme  
 

Tohu par le signe signe Waw ou .O indique une conjonction sonore. Ce même Waw écrit °O sous-tend le sens intellectuel celui du nombre, des nombres et des rapports entre eux, leurs conjonctions (ce qui les séparent/ou les lient).L'écriture du terme abîme porte se sens. Or, il n'esxite pas de racine écrite E°O.

La racine E.O constituant le terme tohu renvoie aux idées suivantes:

racine hébraïque EO: Le signe de là vie He ou E réuni au signe convertible Waw, O, W, image du nœud qui lie le néant à l'être, constitue une des racines les plus difficiles à concevoir que puisse offrir aucune langue. C'est la vie potentielle, la puissances d'être, l'état incompréhensible d'une chose qui, n'existant pas encore, se trouve néanmoins en puissance d'exisiter EO

Racine O, Le signe de là vie He ou E réuni au signe convertible Waw, O, W, image du nœud qui lie le néant à l'être, constitue une des racines les plus difficiles à concevoir que puisse offrir aucune langue. C'est la vie potentielle, la puissances d'être, l'état incompréhensible d'une chose qui, n'existant pas encore, se trouve néanmoins en puissance d'exister



Les racines arabes ** PLEASE DESCRIBE THIS IMAGE ** ayant perdu presque toutes les idées générales et universelles développées par les racines hébraïques analogues, et ne conservant plus rien d'intellectuel , à la seule exception de la relation pronominale ** PLEASE DESCRIBE THIS IMAGE **, dans laquelle on en trouve encore quelques traces, se sont restreintes dans les acceptions particulières de la racine racine He-Yod-He ou EIO EIE, , dont . j'ai parlé plus haut ; en sorte qu'elles ont reçu pour la plu part un caractère funeste. Ainsi en arabe: tout ce qui est lâche, faible, pusillanime a désigné tout ce qui est lâche, faible, pusillanime; en arabe: tout ce qui est instable, ruineux, tout ce qui est instable, ruineux ; le verbe en arabe: le verbe passer, mourrir, cesser d'êtrea signifié passer; mourir, cesse d'être. Le mot en arabe, le mot qui désignait originairement l'existence potentielle, n'a plus désigné que l'air, le vent, le vide, qui désignait originairement l'existence potentielle, n'a plus désigné que l'air, le vent, le vide; et cette même existence, dégradée et matérialisée de plus en plus dans en arbe, synonyme de l'enfer, a été le synonyme de l'enfer.

 

La racine EE formant le verbe exister est comprise ainsi:

racine hébraïque EE: C'est ici cette double racine de vie dont j'ai beaucoup parlé dans ma Grammaire, et dont j'aurai encore occasion de parler beaucoup dans mes notes. Cette racine, destinée à développer l'idée de l'Être absolu, est la seule dont le sens ne puisse jamais être ni matérialisé, ni restrein EE

Racine EE, C'est ici cette double racine de vie dont j'ai beaucoup parlé dans ma Grammaire, et dont j'aurai encore occasion de parler beaucoup dans mes notes. Cette racine, destinée à développer l'idée de l'Être absolu, est la seule dont le sens ne puisse jamais être ni matérialisé, ni restreint.

E°OE, La racine verbale être-étant. C'est dans un sens universel, la Vie de la vie.. E°OE. La racine verbale être-étant. C'est dans un sens universel, la Vie de la vie.

** PLEASE DESCRIBE THIS IMAGE ** E.OE. Cette racine matérialisée, exprime, un néant, un abîme de maux, une affreuse calamité.

 

Commentaires

 

1462 / 970 = 1.507 ou valeur approchée de la quinte
1890 / 1682= 1.1236 ou valeur approchée du ton.
2220 / 1368= 1.622.

 

 

1. La prévalence de la force centralisante, "L'obscurité" sur le souffle puissance expansive: la "lumière" dans les ténèbres ou Obscurité
2. Un équilibre s'établit entre l'obscurité et le souffle.
3. le souffle puissance expansive émerge et ouvre.

Arles

Arles. St-Trophime.


1. L'obscurité (force comprimante et durcissante) s'opposant au souffle (de nature expansive) sur l'abîme de l'existence universelle.
2. L'action générative du souffle sur la face des eaux produit un équilibre entre les quatre termes par dislocation.
3. Le souffle prédominant "comble" l'abîme et produit une rejaillisement " des eaux " (un tas).


1.622 + 1.123 /2 = 1.372. L'état de fermeture
1.123 + 1.503 / 2 = 1.313, L'état d'ouverture.
1.372 + 1.313 / 2 = 1.342 le point de rupture entre les deux états.

Le sepher, entre ouverture et fermeture a pour proportion: 1.333.

 


Le déroulement des actions entre Lui-les dieux, les-cieux, la- terre et et-la-terre s'établissent suivant des progressions carrée et cubique.

Lui-les-dieux, l'obscurité, l'abîme et le souffle agissent dans le cadre du cycle et du demi-cycle.

 

 

 

Les racines, carrée et cubique, comme expressions numériques, indiquent leur appartenance à l'abîme . En effet le Waw est écrit dans son acception verbale intellectuelle (ce que l'on verbalise intellectuellement).
Les nombres 2 et 3, en puissance d'être, sont contenus dans le Principe.

 

 

L'obscurité sur la face de l'abîme...............................................................................le souffle de Lui-les-dieux sur la face des eaux

 

et-le-souffle était-générativement mouvant sur-la-face des-eaux