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L'obscurité
cosmogonie de Moïse
   
 

 

 

 



 

Genese hEBRAÏQUE

MoDELISATION

 

la force compressive et durcissante,
l'obscuritE ou tenebres

 

 

 

L'objet de la genèse selon Moïse se résume à un passage entre deux états, ce qui est ordonné et ce qui n'est l'est pas . L'un et l'autre ont la caractère de l'éternité (sans début ni fin). Ces états s'opposent, se côtoient dans ce qui est nommé Principe et sont reliés par un mouvement extensif revenant sur lui-même prenant un aspect compressif.

Géométriquent le Principe se caractérise par un carré, un cube formant canevas dans lequel un cercle discontinu divisé en quatre parties douées de réciprocité et exprimant sa nature, son nom, par le nombre (le soi-même). Le dodécaèdre inscrit dans un cercle continu et sa représentation en deux dimensions, figure ce qui est tangible, corporel, fermé. L'heptagone irrégulier inscrit dans un cercle continu, formant une incomplétude représente l'idée de ce est non ordonné, ouvert. L'hexagone inscrit dans un cercle lui aussi continu, est le lien (le mouvement) entre ce qui est fermé et ce qui est ouvert. L'ouverture tient au mouvement extensif et la fermeture au mouvement compressif, écrits AL et AC final. Numériquement le Principe contient AL et AC.f : 1.6 et 1.666.

 

       

 

 

Dans la comogonie-cosmologie le Moïse, le Principe, un cube ou un carré dans sa version en 2D, doit être"ouvert" pour acquérir de la vitalité / passer de l'existence à la vie consistant en un mouvement entre deux termes exprimé par deux valeurs: 1.666 représentant l'état de fermeture et 1.6, l'ouverture liés dans le Principe. L'emploi de la force compressive et durcissante ou, dans le texte, l'obscurité sera nécessaire pour arriver à cette fin.

Le terme Obscurité (ténèbres) apparaît sous trois écritures différentes, cela au chapitre Un: et-l'obscurité, puis l'obscurité et enfin et-à-l'obscurité.

 

 

I. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.

 

 

 

 

2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être ); et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle).

 

 

 

 

 

 

3. Et-il-dit ( déclarant sa volonté) , Lui-l’Ètre-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière (élémentisation intelligible).

   
Dieu vit que la lumière était bonne; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres.
4. Et-il-considéra,Lui-les-Dieux, celle lumière comme bonne ; et-il-fìt-une-solution (il determina un moyen de séparation] Lui-les-Dieux, entre la-lumière (élémentisation intelligible ) et-entre l’obscurité (force compressive et durcissanle).

 

V. 4 : 1.057+1015/2= 1.036. Heptagone ?
1146/732= 1.565 demi-cycle ou rapport du cercle au carré inscrit.

V.5. Jour: 1666