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Vocabulaire radical hébraïque, Lettre Nun ou N
cosmogonie de Moïse
   

 

 

Fabre d'Olivet, vocabulaire radical hébraïque
Fabre- d'Olivet
auteur du


 

vocabulaire radical

Nun et Nun final

Nun et nun final, N

 

Nun N  


N. Ce caractère, en qualité de consonne, appartient à la touche nasale, comme image symbolique, il représente le fils de l'homme, tout être produit et particulier. Employé comme signe grammatical, il est celui de l’existence individuelle et produite.

Lorsqu’il est placé à la fin des mots, il devient le signe augmentatif Nun final ou N final, et il donne à l’être toute l’extension dont il est individuellement susceptible. Les grammatistes hébraïsans, en plaçant ce caractère parmi les héémanthes, avaient bien remarqué qu’il exprimait, au commencement des mots ou l’action passive et repliée en soi ; ou quand il paraissait à la fin, le déploiement et l’augmentation : mais ils avaient tiré peu de parti de cette remarque.

Je ne répéterai point ici ce que j’ai dit dans ma Grammaire touchant l’usage que le génie idiomatique de la langue hébraïque faisait de ce caractère, dans la composition des verbes radicaux-composés, en qualité d’adjonction initiale.

Valeur numérique: 5o.

Nun-Aleph NA  


NA. Toute idée de jeunesse et de nouveauté; toute idée de fraîcheur, de grâce, de beauté; toute idée découlant de celle qu’on se forme d’une production nouvelle, d'un être jeune et gracieux.
L’ar. , quoique tenant à la même R. primitive que l’hébreu, a développé pourtant des idées opposées en apparence : voici pour quelle raison. Ce qui est nouveau, nouvellement né, est gracieux, frais, agréable ; mais il est aussi faible, débile, inconstant. Or, l’idiôme hébreu s’étant attaché à la première idée, l’idiôme arabe a suivi la seconde et l’a développée. De là, le verbe , qui indique l’état de tout ce qui est frêle, faible, impotent ; le verbe , qui exprime l’action de se laisser aller, de s'éloigner, d'abandonner une chose, etc.. Ce qui prouve l’identité de la R. c’est que le verbe composé signifie proprement nourrir un enfant.

NAE. Tout ce qui est beau, aimable, nouveau, jeune, frais. Tout ce qui n’est point usé, fatigué, revêche ; mais au contraire, ce qui est neuf, tendre, joli, décent.


NOA. De l’idée de jeunesse et d'enfance, se tire celle de ce qui n’est point parvenu à son point de perfection , de ce qui n’est pas assez mûr, en parlant d’un fruit, pas assez, cuit, en parlant d’une viande ;de là, l’action à agir brusquement et sans réflexion, de se dédire comme un enfant, de se conduire sans expérience, à d'être neuf, inhabile à quelque chose, d'avoir des mouvements précipités, etc..

NAD. (R. comp.) Une outre, à mettre de l’eau ou du lait, ou une liqueur quelconque.


NAM final. (R. comp.) L’action d’exposer le fond ou la source de quelque chose, de dire la vérité, de remonter à la cause. Voy. la R. AM final.


NAP final. (R. comp.) L’action, de se laisser aller à une passion, à un entraînement , comme de commettre une adultère, d’apostasier, d'adorer des dieux étrangers. Voyez la R. AP final.

NATz final. (R. comp.) L’action de passer les bornes, d’outrer ; l’action de cracher. Voy. la R. ATz final.

NATh. (R. comp.) Toute idée de clameur et de gémissement.

NAR. (R. comp.) L’action d’avoir pour exécrable, pour abominable. Voyez la R. AR.



Nun-Bet NB  


NB. La Racine mystérieuse A°OB s’étant réunie par contraction au signe de l’existence produite, donne naissance à une nouvelle racine, d’où émanent toutes les idées d’inspiration divine, de théophanie, de prophétie; et par suite, celle d’exaltation, d’extase, de ravissement, de trouble, d'horreur religieuse.

L’ar. indique,.en général, un frémissement, un mouvement extérieur causé par une passion intérieure. Comme R. onomatopée et idiomatique peint le cri soudain que jette un homme ou un animal vivement ému. C’est proprement l'aboi du chien. Au figuré et expriment l’action de celui qui annonce la volonté du ciel, qui prophétise.

Le mot hébreu NBIA, un prophète, se forme de la R. NB, dont il s’agit ici, et de la R. IA , symbole de la puissance divine.


N.OB. L’action de parler par inspiration, de produire au dehors l’esprit dont on est rempli : dans un sens propre et restreint, une divulgation, une fructification, une germination. Il paraît que dans ce dernier sens, c’est la R. AB, qui est simplement réunie au signe N employé comme adjonction initiale.

 


Nun-Gimel NG  


NG. Cette R. s’applique à toute espèce de lumière réfléchie à la manière d’un miroir; de réfraction solaire : de là, les idées d’opposition, d’objet mis en regard.
L’ar. indique toute idée d’émission liquide, d’émanation acqueuse.

NEG. L’action de conduire en s’emparant de la volonté de quelqu’un; d’induire, de déduire, de suggérer ses idées ; l’action de donner ou de recevoir une impulsion, une opinion, etc..

 

Nun-Dalet ND  


ND. De la réunion des signes de l’existence produite et de la division naturelle, naît une racine qui développe toutes les idées de dispersion , de mouvement incertain, d'agitation, de fuite, d’exil, de trouble, de dissention.

L’ar. développe l’idée de tout ce qui s’évapore, s’exhale, s’enfuit. Ce mot s’applique aussi en arabe à l’idée d’égalité et de similitude; mais alors il est composé et dérive du primitif ID, contracté avec le signe de l’existence produite N.

N.OD. Tout ce qui se meut, s émeut, par un principe de trouble et d’incertitude; tout ce qui est vaguant, agité; tout ce qui s'éloigne, fuit, émigre, etc..

NID. Une agitation, un tremblement, un trouble manifesté par le mouvement.

 

 

Nun-Hé NE  



NE. Cette racine est l’analogue delà R. NA, et caractérise, comme elle, tout ce qui est nouveau, jeune, récent : de là :

N.OE. L’état d’être jeune, alerte, vigoureux, aimable; et par suite, l’action de former une colonie, de fonder une habitation nouvelle, à établir ailleurs son troupeau, etc..

NE. Racine onomatopée qui peint le long gémissement d’une personne qui pleure, qui souffre, qui sanglotte.

L’ar. peint toute espèce de bruit et de clameur.

 

Nun-Waw NO  


NOU. Le S. convertible O , W, image du nœud qui réunit l’être et le néant, et qui communique d’une nature à l’autre, étant joint à celui de l’existence produite, donne naissance à une racine, dont le sens, entièrement indéterminé et vague, ne se fixe qu’au moyen du signe terminatif qui l’accompagne.

L’ar. est une R. onomatopée et idiomatique qui peint l’éloignement qu’on éprouve à faire une chose , le dégoût qu’elle inspire. Comme 'verbe, c’est l’action de répugner, de refuser, de ne vouloir pas.

N.OE. (R comp.) Toute idée d'habitation nouvelle. Voyez la R. NE.

N.OH. (R. comp.) Le point, d'équilibre , où une chose agitée trouve le repos : l’action de se reposer, de rester tranquille, de jouir de la paix et du calme. Voyez la R. NH.

N.OT. (R comp.) Toute espèce de nœud.

N.OM final. (Rac. comp.) L’action de dormir.

N.ON final. (R. comp.) Toute idée de propagation, d'accroissement de famille. Voyez la R. NNfinal.

N.OS. (R. comp.) L’action de flotter dans l’incertitude, d'errer, de fuir. V. la R. NS.

N.O Wh.(Rac. comp.) Tout ce qui change, tout ce qui manque de constance ou de force, tant au propre qu’au figuré.

N.OP final. (R comp.) Une dispersion, une aspersion, une distillation ; l’action de vanner, d'éparpiller, de ventiller, etc..

N.O Tz final. (R. comp.) L’action de fleurir, celle de voler; celle de resplandir. V. la R. NTz final.

. (R. comp.) Tout suc bienfaisant, pur, nourricier, le lait; l’action de sucer, à allaiter un enfant.

N.OR. (R. comp.) La production lumineuse, l'éclat, la splendeur. V. la R. NR.

N.OSh. (R. comp.) Tout ce qui est instable, débile, infirme.

 

 

Nun-Zayin NZ  


NZ. Cette racine caractérise tout ce qui s’épanche, se répand, se disperse ; tout ce qui fait sentir son influence au dehors.

L’ar. offre le même sens. C’est proprement l’action de couler, de s'écouler.

NZZ. (R. intens.) De l’excès de la dispersion, naît l’idée de la fracture pour tout ce qui est solide, et de la distillation pour tout ce qui est liquide.

 

Nun-Het NH  


NH. Si l’on considère cette racine comme formée des signes réunis de l’existence produite et de l’existence élémentaire, elle se prend pour le mouvement qui conduit vers un but : si on la considère comme formée du même signe de l’existence produite, réuni par contraction à la R. AH, image de toute force équilibrante, elle fournit l’idée de ce repos parfait qui résulte pour une chose longtemps agitée en sens contraire, du point d’équilibre qu’elle rencontre, et où elle demeure immobile. De là: NH. Dans le premier cas, et dans un sens restreint, un guide : dans le second cas, et dans un sens général, le repos de l'existence. Voyez N.OH.

L’ar. est une R. onomatopée qui peint un gémissement, Un profond soupir; et de là, toutes les idées de lamentation et de plainte. Les idées intellectuelles développées par la R. hébraïque, se sont presque toutes effacées en arabe. On trouve encore néanmoins dans l'idiome moderne, le verbe pris pour signifier s'accroupir, s'agenouiller. Le mot composé , indique quelque fois la patience, la ténacité.

. NHL. (R.comp.) Tout ce qui s’étend avec effort, qui se partage, qui se divise : une vallée creusée par un torrent : une portion d’héritage : les sinuosités d’une eau courante; une prise de possession, un envahissement quelconque.

NHM final. (R. comp.) Tout ce qui cesse entièrement, qui se désiste d’un sentiment, qui renonce tout-à-fait à un soin, qui abandonne une opinion, qui calme une douleur, qui console, etc..

NHTz final. (R. comp.) Toute idée d’urgence, de presse, d’importunité. V. la R. . NTz final.

NHR. (R. comp.) V. la R. HR.

NHSh. (R. comp.) V. la R. NSh.

NHTh. (R. comp.) V. la R. NTh.

 

 

Nun-Tet NT  


NT. Le signe de l’existence produite, réuni à celui de la résistance et de la protection, forme une R. d’où émanent toutes les idées de nutation, d’inflexion, d’inclinaison, de liaison, tant au propre qu’au figuré, de là :

NT. Toute espèce de rejetton, de verge d'osier, de liant propre à tresser, à nouer, à natter : une chose qui pousse, qui croît sur une autre, qui s’y lie, qui s'y noue; comme un rameau, une branche, un bâton, un sceptre; une natte, un lit; etc.. V. N.OT.

L’ar. n’a point conservé les idées développées par l’hébreu, ou plutôt la R. arabe, s’étant formée d’une autre manière, a exprimé un sens différent. En général, le verbe caractérise tout ce qui fait effort pour s’éloigner du point où il est arrêté ; c’est en particulier, sauter, s’échapper, s’émanciper. On entend par ou l’état d’une chose suspendue, éloignée du point vers lequel elle incline. Le ch. NTH signifie proprement excentrique.

 

 

Nun-YOD NI  


NI. Racine analogue aux RR. NA , NE et N.O, dont elle manifeste l’expression.
L’ar. indique l’état de ce qui est cru.

NIN final (R. comp.) Un petit-fils, un fils. V. la R. NN final.

NIR (R. comp.) La lumière manifestée dans sa production, l'éclat. V. la R. NR.

 

Nun-kaph final NC final  



NCH. Tout ce qui nuit à l’existence , l’arrête, la restreint, la comprime.

NC final. Un coup, une. lésion; un châtiment , un supplice : l’action de gourmander, de châtier, de rudoyer, de punir ; l’action de meurtrir, de frapper, d 'immoler ; etc..

L’ar. présente, en général, les mêmes idées que l’hébreu. Il en est de même du syriaque .



Nun-kaph lamed NL  


NL. Toute idée de suite, de série, de séquence, de conséquence: toute idée de succession abondante et d’effusion tenant à la même source. Les mots arabes , présentent tous le sens de se succéder, de se suivre en grand nombre, se fournir, de donner, de rendre abondamment.

 


Nun-Mem final NM final  


NM. L’existence individuelle représentée par le signe N, étant universalisée par l’adjonction du signe collectif M final, forme une racine d’où se développe l’idée de sommeil. Cette composition hiéroglyphique est digne de la plus grande attention. Elle donne à penser que la physique des anciens Egyptiens, regardait le sommeil comme une sorte d'universalisation de l’être particulier. Voyez D.OM final et N.OM final.

L’ar. ne participe à la R. héb. que dans le cas seulement où le verbe signifie s'exhaler, s'épandre, en! parlant des odeurs ; car, lorsqu’il exprime l’action de répandre des bruits, médire, calomnier, il résulte d’une autre formation. Au reste on peut remarquer que presque toutes les racines qui se composent du signe N sont dans le même cas; et cela par la raison exposée dans la grammaire à l’égard de ce signe, devenu adjonction initiale.

 

 

Nun-Nun final NN final  


NN final. Le signe de l’existence individuelle et produite, s’étant réuni à lui-même comme signe augmentatif, constitue une racine dont l’emploi est de caractériser la continuité de l’existence par la génération. C’est une production nouvelle qui émane d’une production plus ancienne pour former une chaîne continue d’individus de la même espèce.
L’ar. n’a point conservé les idées développées par la R. hébraïque. On peut remarquer seulement que est un des noms que l’on donne à Vénus, c’est-à-dire à la faculté génératrice de la nature.

N.ON final. Tout ce qui se propage abondamment, tout ce qui s'étend et pullule ; dans un sens restreint, l'espèce des poissons; l’action de foisonner.

NIN final. Toute progéniture nouvelle ajoutée à l’ancienne, toute extension de la lignée, de la famille, de la race. V. NI.




Nun-Sameckh NS  


NS. Toute idée de vacillation, d’agitation , tant au propre qu’au figuré : tout ce qui flotte; tout ce qui rend incertain et flottant.

NS. Dans un sens restreint, c’est un drapeau, une enseigne , une voile de navire : dans un sens plus étendu, c’est un mouvement d'irrésolution, d'incertitude : de l’idée de drapeau, naît celle de mettre en évidence , à élever: de l’idée d’irrésolution naît celle de tenter, et de tentation.
L’ar. n’offre qu’une R. onomatopée, qui peint le bruit d'une chose flottante, celui de l’eau par exemple ; et qui caractérise, par suite, tout ce qui imite le mouvement des vagues, au propre ; et au figuré, tout ce qui est livré à un tel mouvement.

 


Nun-Ayin NWH  


NWH. Cette racine exprime l’idée de toute chose faible, molle, débile, sans aucune consistance. L’arabe signifie proprement une herbe récente et tendre. C’est dans un sens étendu toute idée de mouvement sur soi-même, de vacillation, de trépidation, d’oscillation.

N.OWH. Tout ce qui est débile et sans force; tout ce qui est variable, tout ce qui change, tout ce qui vacille, chancelle, erre de côté et d’autre : c’est dans un sens étendu, l 'impulsion donnée à une chose pour la remuer, la tirer de son engourdissement.

NWHM final (R. comp.) Tout ce qui est facile, doux, aisé, agréable.

NWHR. (R. comp.) C’est, dans un sens restreint, un enfant nouveau né: dans un sens figuré, c’est la première impulsion donnée à l’élément vital



Nun-Pé final NP final  

.

. NP final. Toute idée dé dispersion, de ramification, d’effusion, d’inspiration , de mouvement opéré du dehors au dedans, ou du dedans au dehors : c’est une distillation, si l’objet est liquide, une éparpillation, si l’objet est solide. V. N.OP final.

L’ar. offre en général les mêmes idées. Comme verbe, c’est en particulier dans l’idiome moderne, l’action de moucher, de se moucher.


Nun-Tsadé final NTz final  



NTZ. Tout ce qui atteint son terme, son but, son point extrême : tout ce qui s’élève aussi haut, s’étend aussi loin qu’il peut, selon sa nature.
L’ar. ne diffère point de l’hébreu dans le sens radical. On entend par le verbe dans un sens restreint, l’action de donner un thème, de fournir une autorité, de confirmer, de démontrer par un texte, par un argument, etc..


NTz final. Le but de toute germination, la fleur, et l’action de fleurir; le terme de tout effort organique, la plume, et l’action de voler; la fin de tout désir, la splendeur, et l’action de resplandir, d'étinceller, de briller. V. N.OTz final.

NTzTz final. (R. intens.) De l’idée d’atteindre au plus haut point, naît celle de voler; de celle de voler, celle de vautour, et de tout oiseau de proie ; et de celle-ci, prise dans le sens figuré et intensif, celle de ravager, de dévaster, de se disputer un butin, de dérober, de voler ; etc..

 

 

Nun-Qoph NQ  



NQ. Cette racine, qui renferme en soi l’idée du vide , s’attache par métaphore à tout ce qui a rapport à cette idée : de là, NQ, tout lieu creux, caverneux; tout espace inané; toute chose où il n’y a rien à prendre ni à reprendre; un être innocent , dégagé de tout vice, de toute mauvaise pensée; ce qui est libre de toute souillure, de toute impureté ; ce qui est purifié, absous; ce qui est candide, blanc. Dans un sens figuré et restreint, le lait et le nourrisson qui le tette, un enfant. V. N.OQ.

L'ar. est une R. onomatopée qui peint toute espèce de son rauque et profond, comme le grognement du cochon, le croassement du corbeau, etc..

 

Nun-Res NR  



NR. La racine A°OR, réunie par contraction au signe de l’existence produite, constitue une racine dont l’objet est de caractériser tout ce qui propage la lumière, tant au propre qu’au figuré : de là,

NR. Une lampe, un fanal, un flambeau ; un sage, un guide , tout ce qui éclaire, tout ce qui luit, tout ce qui est éclatant: dans un sens métaphorique, une réjouissance publique, une allégresse extrême. Voy. N.OR et NIR .
L’ar. signifie proprement le feu.

 

 

Nun-Sin NSh  


NSH. Cette racine, qui’attache à l’idée des choses temporelles et passagères , en général, exprime leur instabilité, leur infirmité, leur caducité : elle caractérise tout ce qui est débile et faible, facile à séduire, variable et transitoire, tant au propre qu’au figuré.

L’ar. caractérise en particulier, l’absorption de l’eau par la terre ; et signifie dans l’idiôme moderne, chasser les mouches.

NSh. Toute idée de mutation, de permutation, de soustraction, de distraction, de tromperie, de déception, de faiblesse, de lésion, d'oubli, etc..

 

Nun-Taw NTh  


NTH. Toute espèce de division corporelle. C’est, dans un sens restreint, un membre.

L’ar. caractérise une extension donnée à quelque chose que ce soit. Le verbe exprime au propre l’action de transsuder, de transpirer.

NTh. Un morceau de quelque chose que ce soit, une portion, une section : l’action de morceller, de disséquer, etc..

 

Commentaires, renvois
et illustrations

 

 

 

alphabet comparatif hébreu/français